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vendredi 18 mars 2022

Futanari Emblem, Chapitre 1 : Rencontre divine

Chapitre 1: Rencontre divine

Alors que Byleth s'apprêtait à prendre un coup de hache mortel à la place d'Edelgard, peu après leur première rencontre, celle-ci se retrouva dans un lieu obscur, hors du temps et de l'espace. Elle y fit la rencontre d'une femme, qui changera tant sa vie que son corps. L'issue de cette rencontre sera aussi torride que lourde de conséquence: Byleth portera en elle le sceau de la Futanari, et devra vivre avec un corps lui dictant des envies sexuelles intenses.


Est-ce un rêve ? Peut être même penser que l’on est dans un rêve, quand c’est le cas ? Non, suis-je morte ? Un frisson passa sur la nuque de Byleth, alors que le souvenir de la hache de Kostas s’abattant sur elle lui revint. L’obscurité régnait, dans ce lieu qu’elle prenait pour le purgatoire.

« Sérieusement... » S’exclama une voix aigue, arrogante. « Tu essaies de me faire tuer, idiote?! »

Devant elle, assise sur un trône au milieu de l’obscurité, se tenait une femme aux longs cheveux verts qui s’étendaient sur les bras du trône. Sa tenue était une robe plus qui ne cachait que peu de peau, bleue et noire. Au delà de sa tenue, le vert définissait cette femme, dont les longues jambes s’étendaient jusqu’au sol. Il était difficile de ne pas remarquer le décolleté indécent de la robe, dont les seins, bien que peu marqués, étaient bien visibles.

« Bon, ça ira pour cette fois. Tu ne connais pas la valeur de ta propre vie, alors comment pourrais-tu la défendre ? » La femme se leva. Sa robe la suivit, dans un mouvement ondulé. Sa démarche était gracile. Elle n’était pas très grande, et pourtant dégageait une aura de prestance qu’il n’était pas commun d’admirer. « Je suppose que c’est à moi, de te guider à présent ? Tu peux m’appeler Sothis, mais je suis aussi connue sous le nom du « Commencement »... »


La femme, que Byleth observait en silence, sembla perturbée par ses propres mots.

« Oui, Sothis, c’est mon nom... Et ce surnom... Qui m’a appelé ainsi ? »

« Sothis ? » Demanda Byleth, après un raclement de gorge. Celle-ci fut tirée de sa rêverie, et acquiesça pour l’encourager à parler. « Qu’est-il arrivé ? » Ces mots suffirent à redonner à son beau visage l’air courroucé du début.

« Et bien, tu as eu l’excellente idée de te jeter sur la trajectoire d’une hache, pour sauver une parfaite inconnue ! Nos destins sont liés, toi et moi, je n’ai pas pu te laisser commettre une telle absurdités. J’ai donc arrêté le temps. Bien que je ne sache pas comment j’y suis parvenue... Et nous voilà embêtés. »

Elle a arrêté le temps ? Pensa Byleth avec surprise. Elle en parle comme si ce n’était qu’une formalité...

« Mmh, si vous pouvez arrêter le temps... Vous pourriez nous faire retourner en arrière ? Je pourrais agir différemment... ? »

Sothis tapa son poing sur la paume de sa main, comme si l’idée brillante venait d’elle-même.

« Mais oui ! Cependant, j’ai des choses à discuter avec toi. »


Elle se retourna, et invita la jeune femme à la suivre. Puis, s’assit sur son trône, une jambe croisée dessus, l’autre tendue vers le sol.

« Toi et moi, ne formons qu’un. Ce que tu ressens, je le ressens. Et je vais t’accorder ma bénédiction. Celle-ci viendra avec des devoirs spécifiques... » Elle claqua des doigts vers le sol. « Agenouille-toi, que je procède à quelques changements. »

Ce fut avec une légère hésitation que Byleth s’exécuta, mais elle ne se sentait pas en position de refuser quelque chose à une femme capable d’arrêter le temps. Car soit c’était vrai, et sa puissance était extraordinaire. Soit elle rêvait vraiment, et était curieuse de voir le déroulement du rêve.


Un autre claquement de doigt. Cette fois, Byleth ressenti un froid intense en elle. Ses vêtements s’étaient volatilisés. Son visage inexpressif rougit, mais elle ne cachait aucune de ses parties.

« Pas mal du tout. J’aime ton ventre, on y voit des abdo... Et tes seins, s’en est presque indécent ! » Grogna-t’elle, en se pelotant elle même un de ses seins, qui paraissait plat en comparaison. « Voici ma première bénédiction. »

Elle tapa de son pied sur le ventre de Byleth. Un sceau particulier se dessina sur son bas-ventre. Les traits étaient entrecroisés, on pourrait presque croire à deux corps s’enlaçant. Le sceau commença à la brûler, jusqu’à son entrejambe.

Serrant les dents de douleurs, aucun son ne sorti des lèvres de la jeune femme. Jamais elle ne criait, ni ne pleurait. Mais son corps changeait. Avec appréhension, elle jeta un œil sur ce qu’il se passait en bas. Son clitoris venait de se modifier. Il avait grossi. Prit de la peau. Était empli de veines. Elle sentait une lourdeur sous ce clitoris. Deux testicules pendaient en dessous.

« Un pénis... ? » Sothis se mit à rire devant son expression, pourtant très peu présente, de surprise.

« Je viens de t’apposer l’emblème de la Futanari. Il va doter ton corps de capacités sexuelles exceptionnelles, d'une adaptation au plaisir qu'aucune mortelle ne pourrait avoir, et de sensations que jamais tu n'aurais imaginé. En échange, ton devoir sera de fertiliser ce monde de mon essence, car comme tu le constates, je suis coincé dans ton esprit. Je suis plutôt fière de mon travail, tu es bien membrée! Il est temps pour moi de profiter un peu des fruits de mes efforts, avant de te relâcher... »

Byleth ne détachait pas le regard de ce membre viril qu’elle avait entre les jambes. Vierge, elle n’avait jamais approché un pénis de près. Ni même un autre vagin que le sien. Mais surtout, elle n’avait jamais ressenti de besoins sexuels. La poussée de ce membre venait de la bouleverser. Ce pied qui l’écrasait l’excitait. Ces jambes, plus longues qu’elles ne semblaient l’être, brillant à la douce lueur d’une source indéfinissable, donnait envie à Byleth de les lécher. Son corps était en feu, alors même qu’elle avait toujours ressenti un froid intense à l’idée de passer à l’acte.

Le deuxième pied vint se joindre au premier, non pas pour écraser ce pénis, mais pour l’entourer avec fermeté. Gardant son sang-froid, désirant passer à autre chose, Byleth serra les mains sur ses cuisses.

« Sothis, des gens meurent dehors, on devrait... » Elle pouffa de rire avant même la fin de la phrase.

« Avec le temps arrêté ? On pourrait rester comme ça des heures. Je t’ai offert une bénédiction, tu penses peut être que je ne comptes pas en profiter en premier ? Détends toi, ton premier orgasme te convaincre. »


Ce n’est pas que Byleth ne voulait pas. Au contraire, ses pensées étaient toutes sexuelles, désormais. Mais elle se sentait impure. Les deux pieds de Sothis dansèrent sur sa queue. Byleth commença à respirer lourdement. Elle cabra son buste en arrière. Ouvrant la bouche comme pour gémir, sans qu’aucun son ne sorte. Les orteils de cette femme entouraient son gland, la masturbant fortement. Un spasme se déclencha dans son bas ventre. Léger, d’abord. Puis, la douleur devint intense. Son pénis, qu’elle sentait dur comme un roc, devint brûlant. Ce fut douloureux au début, puis le muscle sembla se tendre, comme les bras lorsqu’elle faisait des pompes brutales... Byleth en ferma les yeux, pour mieux ressentir.


« Et maintenant je suis complètement salie ! » S’exclama la voix de peste arrogante de Sothis, bien qu’il y ait un soupçon d’amusement dans celle-ci.

Byleth rouvrit les yeux, pour regarder cette femme sur le trône. Elle replié les genoux sur elle même, passé ses bras sous ses genoux, et lui montrait tant ses pieds souillés de son sperme, que son vagin, que la robe ne cachait pas.

« Tu vas rester plantée là des lustres ?! Tu sais ce que tu as à faire, non ?! »

Oh, oui, Byleth savait. Instinctivement. Elle se leva, avec un peu de précipitation, son corps n’étant plus dicté que par l’instinct primal que lui as instauré le sceau. Il ne fallu qu’une petite seconde pour qu’elle soit en elle, d’une pénétration sauvage qui fit crier sa partenaire d’un mélange de douleur et de plaisir délectable. Byleth écarta les jambes de Sothis, pour arracher avec sauvagerie le haut de sa robe, et admirer ce corps qui s’offrait à elle. Si elle avait l’air plate, son corps dénudé montrait en réalité des seins bien présent, ronds, aux tétons roses qui pointaient merveilleusement. Elle s’apprêta à y goûter, quand une gifle la choqua, bien que son bassin continuait de se démener sans relâche.

« Non mais pour qui te prends-tu ?! Tu n’es pas digne de mes seins, chienne en chaleur ! » Avec autorité malgré les gémissements, Sothis remis ses jambes en place, et écrasa le plat de son pied sale de sperme sur le visage de Byleth. « Je t’autorise à me pénétrer, et te servir de mes pieds. Soit honorée, sans en demander trop ! »


Elle aurait pu se sentir révoltée de son comportement, si tout son corps ne lui procurait pas des frissons suite à cette humiliation. Les pieds humides de la déesse couvraient le visage de Byleth, qui humait leur odeur qu’elle trouvait étonnamment agréable. Sa langue se mit à parcourir le pied de la plante aux orteils, jusqu’à nettoyer les ongles salis par ce pénis sauvage qu’on lui a affublé. Son sperme, emplissait désormais ses lèvres. Ce liquide visqueux, âcre, qui laissait un arrière goût profond. Elle se sentait salie, et y prenait un plaisir incommensurable. Le premier vrai plaisir de sa vie.


Sothis se laissait emportée par le désir, bougeant son bassin dans ce rythme endiablé imposé par la mortelle, tenait les dossier de son trône comme si sa vie millénaire en dépendait. Ces plaisirs indécents lui donnaient des sensations oubliées, la réminiscence d’un passé qui, certainement, avait été empli de ces moments d’allégresse. Avait-elle était à la place de Byleth, un jour, dotée de ce membre, pilonnant sauvagement une amante que les coups de bassin rendaient folle ? Ou avait-elle toujours été la pénétrée ? La réalité, elle le sentait, se trouvait entre les deux. Elle se savait, bien qu’amnésique, totalement lunatique.

Soudain, un coup de bassin profond vint rompre ses pensées, et provoquer en elle un changement majeur. Un orgasme, que son esprit n’avait plus ressenti depuis si longtemps. Tout son corps se raidit, entre les mains de son amante. Plusieurs fois, dans un râle de plaisir, elle se senti partir. De ses yeux, coulaient des larmes. De ses lèvres, naissaient des tremblements incontrôlés. Le pénis indompté ne s’en inquiétait pas. La Futanari la prenait sans pitié, alors que toute la tension de son corps redescendait. Sothis se laissa totalement faire, embuée qu’elle était par le plaisir. Quelques minutes plus tard, elle entendit le grognement de plaisir de Byleth, dont le foutre chaud l’emplissait.


Les deux gardèrent le silence. L’une sur le trône, assise avec les jambes semi-écartées, sans daigner se rhabiller. L’autre, allongée sur le sol devant elle, regardant la seule source de lumière qui perçait vaguement l’obscurité. Seuls leurs soupirs brisaient le silence, pendant un temps qu’elles ne pouvaient définir.

Enfin, Sothis se racla la gorge, en s’asseyant sur son trône de la même manière qu’au moment de leur rencontre. D’un claquement de doigt, la tenue de Byleth revint sur son corps.

« Tu n’as pas oublié la situation dans le monde réel, j’espère ? Tu étais en train de te faire tuer. » Byleth se releva. Le monde réel ? Comme si tout ça avait importé, pendant le temps qu’elle avait passé ici ! « Comme prévu, je vais te faire remonter dans le temps. Et tout ça, a existé. Ton corps aura changé là bas aussi. Nous nous reparlerons, crois-moi. N’oublie pas que tu portes désormais ma bénédiction à bien des égards, et celle-ci te procurera milles plaisirs... »


Byleth se releva, prête au combat, mais Sothis hésita un peu.

« Mmh, comment on fait déjà... ? » Elle fit apparaître devant elle un sceau magique. « Ah oui. Toi qui porte les flammes en ton sein, vogues dans les flots du temps pour trouver les réponses que tu cherches. »

La dernière image qu’eut Byleth, de Sothis, fut celle d’une femme s’assoupissant sur son trône, après un bâillement.

Et elle revint à la réalité. Kostas s’était relevé d’une pirouette. Fonçait sur Edelgard. Tout était clair, et sans penser à ce rêve étrange et si réel, Byleth intervint, l’arme à la main, pour désarmer l’homme, et le tuer sur le coup. Son esprit était encore ailleurs, malgré ce retour brutal à la réalité. Ce qui aurait pu n’être qu’un rêve idiot, était vrai. Car entre ses jambes, elle sentait la lourdeur caractéristique de ce membre qui lui avait procuré du plaisir. Et en elle, flottaient milles envies vagues, sexuellement orientées, avec lesquelles elle allait apprendre à vivre. Et elle se rappela du surnom de Sothis: « Le commencement ». De sa nouvelle vie, sans aucun doute.



NOTE: Les personnages ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété intellectuelle de Nintendo.

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