245 avant l'ère commune.
Victorieux, le peuple des montagnes s'en est retourné dans leur royaume afin de se renforcer, en vue de la future conquête de la Chine. La reine des montagnes, Yotanwa, animée d'un désir intense né grâce à l'adrénaline des combats, fit convier son épée, BaJio, à une journée dédiée aux plaisirs charnels.
La bataille de Qin s'était terminée par une victoire solide des tribus des montagnes, accompagnées par le jeune Ei Sei, et son groupe de soldats et compagnons d'infortunes. L'alliance entre le clan de Yotanwa et Qin serait certainement bénéfique pour les deux partis, mais pour le moment, aucun n'allait plus profiter des avantages de cet accord avant quelques années. Qin allait devoir se redresser, Ei sei grandir et devenir un roi digne de porter ses ambitions démesurées. Quant à Yotanwa, elle allait devoir aggrandir ses forces, rallier toutes les tribus des montagnes, afin d'ouvrir ses horizons, devenir la reine qui participera à la conquête de la chine. Les guerres allaient devenir bien plus complexes et sanglantes, et rien qu'au sein des montagnes, il y avait encore nombre de tribus à subjuguer.
L'on pourrait penser qu'une telle situation effraierait la reine des montagnes, mais ce n'est que l'excitation qu'elle ressentait au plus profond de son coeur. Une excitation d'abord guerrière, sanguinaire, celle d'une femme ayant toujours vécu dans le sang et la violence. Puis, vint une excitation plus sexuelle, née de l'adrénaline vécue aux combats, du sentiment de toute puissance qui vient après l'acte de prendre la vie de nombreux guerriers ennemis. Une excitation que connaissent certainement nombre de guerriers, et que le peuple des montagne a apprivoisé, pour en faire une force. Là où les guerriers des plaines en sont esclave, où viols et massacres sont commis pour cette simple sensation de plaisir intense, les peuples des montagnes savent la contenir, pour la faire ressortir dans les moments plus opportuns. Ce n'était qu'après être rentré dans son palais construit à même une montagne escarpée, après un bain et une nuit de sommeil réparatrice, qu'elle la sentit monter en elle, incapable de la contenir plus.
Ce fut cette excitation qui la réveilla. D'un poids dans le bas-ventre, d'une envie intense de jouir. Son lit n'était pas dénué de possibilités pour jouir, elle ne dormait jamais seule: Plusieurs servantes l'accompagnaient dans son sommeil, réchauffant sa couche et son corps, la faisant jouir lorsqu'elle le désirait, la soulageant de ce poids que peut être la colère ou l'excitation, en étant un exhutoire parfait. Ces femmes étaient des amantes hors pair, et Yotanwa n'était pas du genre à se priver des plaisirs de la chair féminine, comme le veulent les traditions des plaines, si strictes sur les actes entre femmes. Mais en tant que reine conquérante de tout, elle désirait parfois, plus rarement, des plaisirs masculins.
"Amenez-moi Bajio. Et vite, je ne serais pas patiente ce matin."
C'était si rare que la reine demande la présence d'un homme pour ses plaisirs que sa servante personnelle, aux yeux noirs, comme ses cheveux bouclés, eut l'air surprise, puis s'exécuta. Puis, sans un regard envers les autres servantes, qui dormaient pour certaines, d'autres affairées à nettoyer la chambre, ranger des vêtements, préparer la journée de la reine. elle posa une main à son sein droit, l'autre à son entrejambe, profitant de sa nudité matinale pour préparer son corps à une journée dédiée aux plaisirs sexuels.
Ses frissons montèrent rapidement, comme toujours, ses doigts étaient d'une expertise surprenante pour les plaisirs personnels. Tournant le majeur sur le clitoris, alors qu'elle empoignait son sein avec fermeté, le malmenant à son aise, elle se cabrait, poussait des gémissements surjoués, qui ne servaient qu'à assouvir son besoin de faire du bruit. D'annoncer son désir à celles qui l'observaient, sans leur donner l'honneur d'en être la proie.
Sa servante revint rapidement avec Baijo, ce guerrier énorme et musclé, dont le corps brillait de nombreuses manières, tant au combat qu'au lit, bien qu'elle avait du le dresser pour parvenir à autre chose qu'une bête sauvage, dans toutes ces disciplines. Il savait que la reine ne désirait pas qu'il lui parle. Quand elle couchait avec un homme, elle ne désirait pas sa personnalité, mais son corps. Son visage lui même ne l'intéressait pas: L'homme portait son masque de guerre, et n'avait pas autorisation de l'ôter.
Le guerrier enleva sa tenue qui ne couvrait que son entrejambe, laissant pendre son pénis au repos, avant de monter sur le lit, approchant d'une reine en chaleur qui continuait sa masturbation. Il plaça son entrejambe devant les lèvres de sa reine, les testicules pendante devant ses yeux, son membre commençant à se durcir, ses veines ressortant lentement à la simple proximité du visage de la plus belle des femmes des montagnes. Les mains de Baijo s'activèrent sur son corps, caressant son ventre avec fermeté, descendant à l'entrejambe, écrasant le clitoris, et pénétrant de ses doigts les lèvres intimes et humides qui accueilleraient bientôt son membre vigoureux.
Elle, décida de goûter aux mets qui lui étaient offerts. Sa bouche s'ouvrit pour faire entrer les deux testicules, qu'elle aspira, avant de mordre la peau de celles-ci, laissant échapper un grognement de douleur de l'homme qui les possédait. Coucher avec la reine signifiait tant plaisir que souffrance, baisers et morsures.
Le corps de la reine se cabrait sous les doigts brutaux et épais de l'homme qu'elle considérait comme son "Epée", à plus d'un titre. Elle lâcha enfin ses testicules dégoûlinantes de salive, pour attraper ce chibre gonflé qu'elle avait rendu plus dur que du bois. Elle le pencha vers ses lèvres, et l'incita à baisser le bassin, les mains sur les fesses du guerrier, appuyant dessus pour lui intimer cet ordre. S'exécutant sans se faire prier, l'homme enfonça son épée de chaire dans ses lèvres voluptueuses.
La reine en chaleur enroula sa langue autour de ce membre au goût salé, humide du liquide qui éructerait bientôt de ses orgasmes. Yotanwa le sentait se retenir, comme elle lui avait appris lors de leurs premières fois. Elle se souvenait avec plaisir le jeune homme sauvage, brutal, qu'elle avait choisi comme premier amant. De sa première fois où ses gestes trop brusques ressemblaient à ceux d'un ogre désirant juste lâcher son sperme chaud au fond de son vagin, à maintenant, si bien dressé qu'il suffirait d'un ordre pour qu'il se stoppe. Elle avait passé des années à le punir, le forcer à maîtriser ses besoins, pour parvenir à une bête de sexe, comme elle en avait fait un soldat bien dressée pour son armée personnelle. Sous le plaisir, l'homme devenait plus brutal de ses mains, malemenant ses jolis seins, claquant son entrejambe fortement, faisant grogner d'un désir intense la reine des montagnes. Elle désirait cette brutalité. C'était le seul désir que cet homme était apte à combler. Les veines du chibre épais gonflaient sous les lèvres de la reine, de violents spasmes apparaissaient. L'épée était à sa limite. D'une morsure légère à sa base, elle déclencha l'orgasme qui éjecta le foutre chaud au sein de sa gorge.
Yotanwa se fit un plaisir d'avaler le liquide âcre, presque détestable, mais dont les gorgées l'emplissaient d'une intense envie de continuer ses jeux sexuels. Elle fit sortir son épée de ses lèvres, laissant l'homme s'écarter d'elle, pour préparer son membre à la suite. La reine, décidément feignante ce matin, écarta simplement les jambes pour laisser l'homme s'installer entre elles.
"Tu as intérêt à être encore en forme, mon fourreau n'acceptera qu'une épée vigoureuse."
L'homme montra toute son aura purement sexuelle, dévoilant un pénis qui n'avait rien perdu de sa superbe. La reine claqua des doigts envers sa servante personne, qui approcha son visage de celui de sa reine bien aimée. Sans un mot, Yotanwa l'embrassa, partageant les restes de semances avec elle. Leurs langues s'entrelaçaient avec passion, alors que l'homme donna un coup de bassin profond, pillonant le vagin de la reine. Le geste semblait même fait comme un automatisme brutal, appris par coeur, dans cette position précise. Ses coups de bassins réglées pour la force, la brutalité. Ce n'était que le dressage intensif de la reine, qui s'exprimait dans ce corps musclé. De la reine, ne sortaient que des gémissements étouffés par la langue de la servante.
La main droite du guerrier se posa sur le cou de Yotanwa, serrant avec précaution, mais force. S'il avait la force de briser son cou magnifique, jamais l'idée ne lui viendrait. La respiration de Yotanwa devint plus difficile, s'étouffant avec une certaine maîtrise entre les mains de son amant. Ses lèvres, lâchées à l'instant par la servante, s'ouvraient dans un gémissement qui sorti difficilement. Ses yeux révulsés, sa vision se floutait à cause des coups de bassins violent en son enceinte. Sa conscience vacillait sous l'effet de la strangulation, lui permettant d'oublier son statut, ses devoirs, ses responsabilités. Ses pensées n'existaient que pour jouir, tout comme son corps, simple objet sexuel dont l'utilité ne pouvait être la guerre, en cet instant précis.
Son bas ventre se leva sous l'impulsion sexuelle, suivi par l'homme qui refusait de laisser fuir ce vagin aux sensations divines. Des larmes coulèrent des yeux de la reine, nées de ce bonheur qui grimpait, son bas ventre tenu en l'air par la force du guerrier. L'orgasme approchait, parfaitement maîtrisé par l'épée qu'elle avait affûtée. Lui senti l'orgasme de sa reine, lâchant son cou pour lui permettre une respiration, qui se fit suivre d'un cri intense, quand tout son corps se cabra avec une telle violence qu'elle aurait pu s'évanouir.
"... Un bain... Prépare moi un bain..."
La servante s'exécuta. Tout son être tremblait, ses yeux vagues vers le plafond, où elle voyait encore l'ombre de l'homme se démenant en elle. Le guerrier savait, que s'il s'était arrêté à l'orgasme de sa majesté, son membre viril aurait été coupé. Ce dressage mental par des menaces brutales, avait forgé l'esprit de cet homme, dont l'instinct bestial était encouragé à ressortir dans ces moments intimes. Ces coups de bassins post orgasme étaient si violents, que la reine sentait ses hanches douloureuses, son intérieur se débattre pour faire sortir son assaillant. Et pourtant, le plaisir revint, grâce à une douleur intense dont elle était accro. Il manipulait ses jambes à l'envie, les refermant sur son ventre, l'utilisant comme un simple jouet. Cette immense épée durcie par l'entraînement la faisait sienne. Il lui fallut de longues minutes que Yotanwa refusa de compter, à gémir, geindre parfois, pour qu'enfin, l'homme lâcha son foutre chaud en elle, provoquant un second orgasme chez elle. Cette fois, elle fut vidée de son énergie.
La reine des montagnes se pensant libre, se déplaça à quatre pattes sur son lit, s'extirpant du corps musclé de son amant bestial. Au bord du lit, pourtant, les mains solides du guerrier lui prirent les hanches, pour les rabattre sur vers ce corps viril, pénétrant son antre de ce muscle qui ne connaissait pas le repos. La saillie fut particulièrement brutale, la position bien plus dominatrice, pour l'homme, lui procura une excitation plus intense.
"Putain... sale fauve, incapable de te contenir...Mmff..." Elle contenait ses gémissements, difficilement. Un seul mot aurait suffit à le faire s'arrêter, mais ce contrôle qu'elle détiens sur sa bête dressée, est plus excitant encore quand elle s'en prive. Et laisser l'instinct animal de Bajio sortir n'a rien de mal.
"Majesté, le bain est prêt."
Sa servante regarda la scène, silencieuse, et habituée. Mais le regard suppliant de la reine des montagne ne faisait qu'augmenter la chaleur dans la pièce, pour toutes les servantes présentes.
"Retiens Bajio, dans ce cas...! Retenez le toutes!"
Toutes les servantes s'activèrent autour de la reine, et surtout du guerrier, dont la taille intimidait. L'une d'elle passa sa main entre les jambes du guerrier, pour lui presser les testicules, le forçant à s'arrêter de pilonner comme un ogre l'intimité rougie de leur reine. Une autre fit un suçon dans le cou de l'homme, tandis que des mains expertes attrapaient la base du membre, pour le sortir de l'antre dans laquelle il se trouvait. La servante personnelle sourit à sa reine, qui put enfin sortir du lit et se relever, fière malgré la sueur, la douleur, et le liquide épais qui s'écoulait de son vagin.
"Nous nous occupons de polir vôtre épée durant vôtre bain, Majesté." Dit-elle, avant d'enfoncer la dite épée entre ses lèvres. Ba jio immobilisé par le plaisir, ne quitta pas des yeux Yotanwa avant sa sortie de la chambre.
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