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mercredi 23 mars 2022

La transformation de Naruto, chapitre 2: Une femme, au fond.

Naruto a multiplié ses transformation en son pendant féminin. Se sentant de mieux en mieux dans cette forme, il a décidé d'adopter à la maison l'identité de Naruko de manière définitive, aidé par sa femme aimante. Réussira-t-elle à lui enlever ses angoisses, et la faire s'assumer en tant que femme?


Depuis cette fameuse nuit d'orgie avec sa femme, la vie de Naruto et Hinata avait changé. Alors que le futur Hokage, s’entraînant pour accomplir ce rôle qui lui serait destiné, paraissait être un homme fort à l’extérieur, il ne se sentait désormais bien qu’en rentrant à la maison, où il pouvait changer son apparence. Une boule d’angoisse se formait en lui à chaque fois qu’il sortait de ce qu’il pensait n’être qu’un rôle sexuel. Car ça ne devait être que ça, au début. Son pendant féminin n’était censé être qu’un jeu entre lui et sa femme. Profiter du Ninjutsu pour autre chose que le travail. Leur vie sexuelle en avait même été revigorée, mais il avait changé.


Devenir « Naruko », baptisée avec humour par Hinata, devint une habitude.


Ce fut une véritable révélation, de se faire appeler d’un prénom féminin. D’être considéré comme une femme, par Hinata. Naruko n’était pas un homme. Au fond, elle ne l’avait jamais été, bien qu’elle se soit mentie à elle même depuis longtemps. Ses transformations adolescentes l’amusait, mais elle ne pouvait cacher qu’elle adorait se montrer sous des formes féminines.


Dès qu’elle passa le pas de la porte, elle se transforma en cette jeune femme aux longs cheveux blonds, coiffés en couette. Elle avait entraîné sa voix pour être féminine, et amélioré sa technique de transformation, pour que toutes ses sensations soient féminines. Il ne restait de son corps masculin, son pénis, qu’elle ne regrettait pas particulièrement. Il n’était de toute façon pas possible pour elle de changer cette partie, et ça lui faisait du bien.


« Enfin rentrée, ma chérie ? » Chantonna la voix douce d’Hinata, qui vint l’embrasser.


« La journée m’a paru interminable. Je me sens de moins en moins bien à l’extérieur... » Naruko ressentait l’anxiété la quitter, devant Hinata. « Mais n’en parlons pas. Ça sent les ramens ?! »


« J’ai harcelé Ichiraku pour obtenir sa recette, et c’est tout juste prêt ! » Hinata avait l’air toute fière de faire la surprise à sa femme.


« Tu es la meilleure ! » Exulta Naruko.


Humant l’odeur des ramen, les dégustant en découvrant que son repas préféré est meilleur lorsque préparé par une main aimante, une boule monta dans la gorge de Naruko. Avalant avec bruit et sans classe une longue nouille, des larmes lui montèrent aux yeux.


« Tout va bien ? » S’inquiéta Hinata, constatant l’angoisse de Naruko.


« … Oui. » Dit-elle en essuyant une larme. « Tout. J’ai eu de la chance de te trouver. Tu es patiente, aimante, tu acceptes tant de choses... Tu sais que je serais absente souvent, mais tu ne t’en plains jamais. Et depuis... Mon changement, tu as tout fait pour que je me sente bien... » Naruko admirait le sourire touché d’Hinata.


« Je t’ai toujours observé, et aimé. Je sais que ton coming out s’est fait dans des conditions sexuelles, mais je ne l’acceptes pas uniquement parce que ça m’excite. Tu es celle que j’aime. Tu l’as toujours été. »


Hinata se leva après s’être essuyé les lèvres, et vint déposer un baiser sur les lèvres de sa femme. Leurs lèvres peinaient à se quitter, tant leur contact les faisait frissonner.


« Lorsque tu auras fini tes Ramen, j’ai quelque chose... De moins mignon à te proposer ? » Déclara Hinata, un peu rouge.


« Tu hésites encore à me demander des choses sales ?! » Ricana Naruko. « Après TOUT ce qu’on a fait ? » Elle riait, mais Hinata en devint encore plus rouge. Naruko posa la main sur celle de sa femme avec un sourire pour la rassurer, et finit ses Ramen en silence, pour ne pas rajouter à la gêne de son épouse. Si une chose n’avait pas changé en Naruko, c’était son incapacité à avoir du tact.


Lorsque le repas fut fini, elle suivi Hinata dans leur chambre, qui n’avait plus pipé mot.


« J’ai fait quelques courses spéciales aujourd’hui, auprès de Tenten. Tu sais qu’elle s’est reconvertie dans la vente d’armes ? Elle vends aussi des objets... Plus intimes... » Elle ouvrit le tiroir, pour dévoiler à Naruko un gode ceinture, dont le phallus en latex noir brillait. La futur Hokage se raidit en comprenant l’idée d’Hinata.


« Tu veux... Ahem... Que je sois la pénétrée, cette fois ? »


Sans un mot, Hinata acquiesça, le visage encore rouge. Ce n’était pas une demande commune, bien que Naruko ait effectué ces changements chez elle, jamais elle n’avait été pénétrée. Oserait-elle dire qu’elle n’y avait jamais songé. Elle inspira profondément, avant de se confier.


« J’ai un peu peur, mais je veux essayer. Ce n’est pas la première fois que j’imagine ça... Une fois, avec une de mes clones, j’ai... Sucé... » Naruko frissona, à ces souvenirs. « Je n’ai pas su aller plus loin. Mais avec toi, j’accepte. »


Ce fut Hinata qui réprima des larmes. La confiance qui régnait entre elles la touchait au plus profond du cœur.

Hinata enleva sa tenue rapidement, ne laissant sur elle que la résille qui la caractérisait, elle adorait en porter, et Naruko se sentait constamment excitée au contact de ces ficelles qui entouraient sa peau de lait.

Naruko l’admirait, et ne bougeait pas. Sa femme enfila le gode ceinture, qui l’effrayait autant qu’elle l’attirait.


Puis elle s’approcha, à pas de louve. Les mains de la Kunoichi déshabillèrent lentement Naruko, docile, et bien plus timide qu’habituellement. Ce corps était somptueux. Un ventre athlétique, des seins fermes. Hinata avait du apprendre à peloter des seins, que Naruko s’était faite sensible. Peut être plus que des seins normaux, mais après tout, c’était son corps, elle avait le luxe de choisir à volonté ce qu’elle pouvait ressentir grâce à son Jutsu de transformation.


Très vite, Naruko se retrouva allongée le lit, totalement nue et à la merci des mains et de la bouche de sa femme. Les doigts d’Hinata étaient chargés de Chakra, appuyés sur des points précis du ventre qui s’offrait à elle, pour faire monter les envies qui naissaient très vite. Le phallus entre les jambes de la belle blonde réagissait. Elle gémissait. Elle n’avait plus honte de gémir, d’avoir l’air d’une femme. Elle en était une. Et entre les mains d’Hinata, elle se sentait comme telle.


« Tu me fais trop de bien... Je... Je peux lubrifier le gode avant... ? »


« Bien sûr, mon amour. »


Elle se mit au dessus du visage de Naruko, le gode ceinture pointé vers ses lèvres. Sans hésiter, elle le prit en bouche, lécha, aspira. Hinata donnait de petits coups de bassins. Les mains de la belle blonde se glissaient sur les fesses potelées qu’elle avait vu dans tant de positions avant, et touchées à tant de reprises.


Le gode était dur, long, elle sentait déjà que ses fesses lui procureraient une douleur qu’elle n’avait jamais connu... Jamais ? Un mensonge... Il y avait bien eu des doigts à une époque lointaine qui l’avaient pénétrées à cet endroit, mais elle ne désirait pas repenser à ce moment particulièrement douloureux de son entraînement. Pas maintenant.


Lorsque le gode ressorti, elle reprit lourdement son souffle, pendant qu’Hinata revenait entre ses cuisses. Avec courage, Naruko lui ouvrit ses jambes. Le regard blanc de sa pénétrante s’attardait sur ses entrejambes. Le chibre ne pouvait empêcher son érection. Ses testicules, pleines, étaient tendues.


« J’entre. Prépare toi. » L’anxiété avait disparu de la voix d’Hinata.


Leurs mains s’entremêlèrent. Le gode, noir, brillant de salive, entra d’abord d’un petit centimètre. Naruko serra les dents, entourant ses cuisses autour des hanches d’Hinata.


Sa femme n’était pas violente. Elle entrait centimètre par centimètre, dans une avancée qui parut une éternité. Le sphincter de Naruko se débattait contre cette intrusion, mais son esprit prenait un plaisir qu’elle n’avait jamais osé atteindre.


Enfin, elle senti le bassin d’Hinata frapper ses testicules. Tout était en elle. Son corps tremblait, des larmes coulaient sur ses joues. Un baiser vint interrompre ses gémissements.


« Prends-moi, mon amour... »


La demande fut exécutée sans un mot. Leurs regards se perdirent l’un dans l’autre. La sodomie était un acte si intime qu’elles perdirent la notion du temps. Le battement de la mesure se faisait au rythme du bassin lent d’Hinata. Pour que le plaisir soit total, Naruko s’était emparé de son pénis pour se masturber. Elle acceptait, que ses plaisirs étaient multiples. Ne jouir que d’un seul acte, alors qu’elle pouvait en prendre de tout ce qui compose son corps, aurait été un gachis total.


Quand Hinata voulu prendre un peu de puissance, elle retourna sa femme, pour la mettre en levrette devant elle. Les mains sur les hanches, elle battit les fesses de Naruko par de puissants accoups. Les cuisses, capables d’une puissance que la future Hokage n’avait jamais constaté sur Hinata, étaient inarrêtables.

La pénétrante fatigant, elle savait comment finir sa femme. Le buste tiré vers le haut, elle colla ses seins au dos de sa chère femme. Sa main gauche empoigna un des seins sensibles de Naruko, malmenant son mamelon. Sa main droite, prit la relève de la main de sa femme, sur le pénis. Les mains d’Hinata n’avaient pas son pareil pour manier cet outil, dont elle avait appris toutes les caractéristiques.


« Mmmf !! Si tu pompes ma queue... »


Elle tendit ses bras en arrière, touchant les cheveux d’Hinata. La pénétrante lui embrassa le cou.

Sodomisée, pelotée, masturbée, Naruko se perdit dans un océan de plaisir qui pourrait la faire totalement vriller. Il ne fallut que peu de temps pour que l’orgasme le plus intense de sa vie se produisit. Son membre tira un jet puissant, dont le spasme fut presque plus douloureux qu’agréable. Tout son corps se cabra, ses lèvres bavèrent. Le bassin d’Hinata ralenti, pour s’adapter aux spasmes de sa femme.


Naruko retomba sur le lit sale, épuisée. D’habitude, elle était capable de tenir plusieurs orgasmes en restant en érection. L’intensité de l’orgasme avait vidé toute sa vigueur. Des picotements parcourraient son anus.

Hinata se retira, tout comme elle enleva le gode ceinture. Elle sorti de leur tiroir un vibromasseur, acheté le jour même, dans le cas où ses plans se dérouleraient à merveille. Le gode ceinture ne la ferait pas jouir, mais elle aussi était avide de plaisir.


Pour faire profiter Naruko du spectacle, elle s’assit, jambes écartées, devant son visage épuisé.

La vision était idyllique. Hinata alluma le vibromasseur, qu’elle appuya sur son clitoris. Se pelotant, elle fut surprise des sensations uniques. Tenten n’avait pas menti : Ce petit jouet était incroyable.

D’intenses spasmes la prirent si vite, si fort, qu’elle aspergea le visage de sa femme d’une cyprine abondante.


« Oh... Put... ahem, ciel... » Hinata en était presque à jurer, tant le plaisir fut intense. « Tenten est une vraie génie. Tu as aimé aussi, ma chérie ? »


Pour toute réponse, Naruko enfonça son visage entre les cuisses d’Hinata, pour nettoyer à la langue, avidement, ce vagin humide, appartenant à la meilleure femme du monde.


**************


Aucun rêve ne vint perturber le sommeil des deux amantes, blotties l’une contre l’autre, après cette intense nuit. Alors qu’elles se réveillèrent en même temps, aucune des deux ne bougea avant de longues minutes.


« Je veux arrêter de faire semblant. » Soupira Naruko. « Mais seule, je n’en ai pas le courage... Tu veux bien te montrer à mes côtés, si je suis habillée en... Femme... Avec ce corps... » Un baiser sur la nuque fit taire ses angoisses.


« Je serai honorée, de montrer au monde que je suis mariée à la plus belle femme du monde. Mais on peut faire ça cet après-midi ? J’aimerais passer une matinée au lit, rien que toi et moi... »

Et les mains taquines d’Hinata, firent quitter toute envie de sortir de ce lit à Naruko.




Note: Les personnages apparaissant dans cette fiction appartiennent à Masashi Kishimoto.

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Source de l'image: Funny*devil, https://www.pixiv.net/en/artworks/58375713

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